Vous êtes invités à prendre le temps de profiter de ce paysage, à capturer cet instant de votre visite sur le P’tit Train du Nord.
#osezralentir #surlesentier du #ptittraindunord et capturez ce #paradisintime de #lautrelaurentides. Traversez de l’autre côté des artifices modernes et participez à #unfeurassembleur au bord du #sentiertranscanadien dans la #mrcal
La MRC d'Antoine-Labelle vous invite à prendre une pause et la pose avec ses haltes rePOSEz-vous, un réseau de bornes photographiques en bordure du parc linéaire Le P'tit Train du Nord.
Installez votre téléphone dans l’espace prévu à cet effet, afin de photographier ce moment de pause.
Votre téléphone peut être installé à la verticale ou à l'horizontale, à votre préférence.
Prenez une photo de vous, du paysage, de vous avec le paysage. Vous pouvez utiliser le retardateur de votre appareil.
Partagez votre photo sur les réseaux sociaux avec cette phrase:
#osezralentir #surlesentier du #ptittraindunord et capturez ce #paradisintime de #lautrelaurentides. Traversez de l’autre côté des artifices modernes et participez à #unfeurassembleur au bord du #sentiertranscanadien dans la #mrcal
Pour des descriptions des lieux à saveur historique, vous pouvez consulter les rubriques ci-bas.
Vous êtes à proximité de rapides, secteur que l'on nomme le Rapide des Italiens. Ce nom est dû au fait qu’en 1901, environ 6 % de la population du canton Marchand est italienne, constituant le groupe d’immigrants le plus important du secteur.
Le secteur se nommait Villaniville ou Viladam puisqu’il s’agissait d’un secteur industriel opéré par André Villani. Il gérait une scierie et une chaufferie, mais souhaitait surtout élever des vers à soie (sériciculture). Toutefois, le projet n’a pas duré longtemps puisqu’un feu de forêt en 1908 ravage son entreprise. Suivant l’incident, plusieurs familles italiennes ont choisi de retourner à Montréal.
Pour en savoir plus
Route du lièvre rouge - Rapide des italiens
Vous êtes maintenant au terminus du train du Nord, du moins, c’était le cas pendant 3 ans, soit entre 1905 et 1908. Nominingue a accueilli de nombreux touristes à travers les époques. Ceux-ci profitaient des nombreux lieux de villégiature à proximité.
Vous pouvez admirer la gare qui se trouve sur son lieu d’origine. Toutefois, pendant 15 ans, cette gare s’est retrouvée dans un parc non loin, le parc Hervé Desjardins. La municipalité voulait conserver l’immeuble et l’a donc déplacé pour en assurer la gestion, pendant ce temps, il fut utilisé comme chalet d’accueil du parc.
Pour en savoir plus :
Route du Lièvre Rouge - Gare de Nominingue
Vous vous retrouvez dans la municipalité de Lac-Saguay. À ses tout débuts, la municipalité était en fait 3 paroisses distinctes composées de Bédard, Hébert et Terre-Haute. Il reste peu de traces des paroisses de Bédard et Terre-Haute, puisque Hébert est devenu le noyau villageois de Lac-Saguay.
Le nom de Terre-Haute viendrait du fait qu’il s’agissait du secteur le plus haut des environs.
Pour en savoir plus:
Vous vous trouvez dans l’ancienne municipalité de Guénette. Celle-ci s’est fait connaitre par sa carrière de granite rose qui était populaire pour en faire des pierres tombales. Sa proximité du chemin de fer et de la route 11 en faisait une carrière prospère.
Vous êtes aussi au centre d’une courbe prononcée, que l’on nomme aussi un fer à cheval. Il s’est produit un déraillement du train en 1947 à cet endroit. En effet, le train allait trop vite, dû au personnel du train qui célébrait un peu trop ce soir-là.
Autre anecdote, au cours d’un été, il semblerait qu’il y avait tellement de sauterelles sur les rails que le train ne pouvait plus avancer puisque celles-ci faisaient glisser le train.
Pour en savoir plus:
Capsule Anekdote - Le fer à cheval
Vous êtes non loin d’une ancienne station piscicole. Ouverte en 1972 et fermée en 2022, cette station élevait plusieurs espèces dont la truite arc-en-ciel, la truite brune, le touladi (truite grise), l’omble de fontaine (truite mouchetée) et occasionnellement l’omble Moulac (croisement des espèces précédentes). Appartenant au gouvernement du Québec, cette station servait à ensemencer des lacs et rivières avec des espèces adaptées à chaque plan d’eau.
Pour en savoir plus:
Station piscicole de Lac-des-Écorces
Vous voyez au loin la montagne du Diable, le deuxième sommet le plus haut des Laurentides après le mont Tremblant.
Le réel nom est en fait le mont Sir-Wilfrid, nommé comme tel en 1932. Le nom est choisi pour rendre hommage au premier ministre du Canada de 1896 à 1911, M. Wilfrid Laurier. Vous pourrez constater que quelques éléments dans la région sont nommés en son honneur puisqu’il a contribué au fait que le chemin de fer fut construit jusqu’à Rapide-de-l ’Orignal (devenu Mont-Laurier par la suite).
Toutefois, dans l’usage courant, le nom de montagne du Diable est employé. Il s’agit du nom du parc régional situé au même endroit. La dénomination de montagne du Diable provient d’une interprétation des blancs d’une légende anishinaabe. Il s’agit de la légende du Windigo (wendigo), qui est celle d’un être méchant et dangereux. Les blancs ont interprété que le Windigo hantait la montagne, ce qui a mené à l’appellation « du Diable ».
Pour en savoir plus :
Parc régional de la Montagne du Diable
Capsule Anekdote - Montagne du Diable
Capsule Anekdote - Légende Windigo